Charles Burley
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Bivins aussi mais Burley était toujours le plus léger de 3/4 kg , un SW contre des SM de nos jours.Stéphboxe a écrit : ↑23 oct. 2024, 23:55
Charley burley avaitt combattu ezzard charles et archie moore dans la catégorie poids moyen.
Archie moore et ezzard charles était des poids moyens a l' époque quand charley burley les avaient affronté.
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Jimmy bivins etait un poids lourdNo Mas a écrit : ↑25 oct. 2024, 19:27Bivins aussi mais Burley était toujours le plus léger de 3/4 kg , un SW contre des SM de nos jours.
Il avait boxer en début de carrière en mi lourds dont notamment face a charley burley.
De nos jours jimmy bivins aurait été un lourd -léger.
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Stéphboxe a écrit : ↑27 oct. 2024, 15:37Jimmy bivins etait un poids lourd
Il avait boxer en début de carrière en mi lourds dont notamment face a charley burley.
De nos jours jimmy bivins aurait été un lourd -léger.
il est connu pour son invincibilité pendant 27 combats de 1942 à 1946 en combattant dans les deux catégories mi-lourd et lourd et battant les meilleurs pendant l'absence de Joe Louis.
Son poids est varie de 79 kg à 86 kg pour 1m75 et une allonge de 1m93.
Il affrontait des poids lourds naturels, tout en étant plus petit et plus léger.
Malgré cela, il a battu 8 champions du monde sans jamais décrocher un titre lui-même.
Combats emblématiques de Jimmy Bivins
1. Jimmy Bivins vs Ezzard Charles
Résultat : Défaite
Contexte : Charles, futur champion du monde poids lourds, a infligé à Bivins une défaite difficile, malgré une rivalité intense entre les deux.
Fait marquant : Bivins a battu Charles dans un autre combat, le mettant au tapis à plusieurs reprises.
2. Jimmy Bivins vs Archie Moore
Résultat : Défaite par arrêt médical
Fait marquant : Bivins a été mis au tapis par un uppercut, et son œil gauche était tellement enflé qu’il ne pouvait plus voir.
Contexte : Moore est devenu plus tard champion du monde poids mi-lourds.
3. Jimmy Bivins vs Joe Louis
Résultat : Défaite
Contexte : Combat symbolique où Joe Louis, alors en uniforme militaire, a remis à Bivins le "Duration Title" (titre provisoire pendant la guerre)
4. Jimmy Bivins vs Charley Burley
Résultat : Victoire
Fait marquant : Burley est considéré comme l’un des meilleurs boxeurs jamais titrés. Battre Burley a renforcé la réputation de Bivins comme un "champion sans couronne"
5. Jimmy Bivins vs Joey Maxim
Résultat : Victoire
Contexte : Maxim est devenu plus tard champion du monde poids mi-lourds. Bivins l’a battu à une époque où il dominait la division.
6. Jimmy Bivins vs Gus Lesnevich
Résultat : Victoire
Fait marquant : Lesnevich était champion du monde poids mi-lourds. Cette victoire a solidifié la position de Bivins comme prétendant légitime au titre.
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No Mas a écrit : ↑18 août 2025, 20:10
il est connu pour son invincibilité pendant 27 combats de 1942 à 1946 en combattant dans les deux catégories mi-lourd et lourd et battant les meilleurs pendant l'absence de Joe Louis.
Son poids varie de 79 kg à 86 kg pour 1m75 et une allonge de 1m93.
Il affrontait des poids lourds naturels, tout en étant plus petit et plus léger.
Malgré cela, il a battu 8 champions du monde sans jamais décrocher un titre lui-même.
Combats emblématiques de Jimmy Bivins
1. Jimmy Bivins vs Ezzard Charles
Résultat : Défaite
Contexte : Charles, futur champion du monde poids lourds, a infligé à Bivins une défaite difficile, malgré une rivalité intense entre les deux.
Fait marquant : Bivins a battu Charles dans un autre combat, le mettant au tapis à plusieurs reprises.
2. Jimmy Bivins vs Archie Moore
Résultat : Défaite par arrêt médical
Fait marquant : Bivins a été mis au tapis par un uppercut, et son œil gauche était tellement enflé qu’il ne pouvait plus voir.
Contexte : Moore est devenu plus tard champion du monde poids mi-lourds.
3. Jimmy Bivins vs Joe Louis
Résultat : Défaite
Contexte : Combat symbolique où Joe Louis, alors en uniforme militaire, a remis à Bivins le "Duration Title" (titre provisoire pendant la guerre)
4. Jimmy Bivins vs Charley Burley
Résultat : Victoire
Fait marquant : Burley est considéré comme l’un des meilleurs boxeurs jamais titrés. Battre Burley a renforcé la réputation de Bivins comme un "champion sans couronne"
5. Jimmy Bivins vs Joey Maxim
Résultat : Victoire
Contexte : Maxim est devenu plus tard champion du monde poids mi-lourds. Bivins l’a battu à une époque où il dominait la division.
6. Jimmy Bivins vs Gus Lesnevich
Résultat : Victoire
Fait marquant : Lesnevich était champion du monde poids mi-lourds. Cette victoire a solidifié la position de Bivins comme prétendant légitime au titre.
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Jimmy bivins avait battu par ko au 6 ème round archie moore en 1945No Mas a écrit : ↑21 août 2025, 19:31No Mas a écrit : ↑18 août 2025, 20:10
il est connu pour son invincibilité pendant 27 combats de 1942 à 1946 en combattant dans les deux catégories mi-lourd et lourd et battant les meilleurs pendant l'absence de Joe Louis.
Son poids varie de 79 kg à 86 kg pour 1m75 et une allonge de 1m93.
Il affrontait des poids lourds naturels, tout en étant plus petit et plus léger.
Malgré cela, il a battu 8 champions du monde sans jamais décrocher un titre lui-même.
Combats emblématiques de Jimmy Bivins
1. Jimmy Bivins vs Ezzard Charles
Résultat : Défaite
Contexte : Charles, futur champion du monde poids lourds, a infligé à Bivins une défaite difficile, malgré une rivalité intense entre les deux.
Fait marquant : Bivins a battu Charles dans un autre combat, le mettant au tapis à plusieurs reprises.
2. Jimmy Bivins vs Archie Moore
Résultat : Défaite par arrêt médical
Fait marquant : Bivins a été mis au tapis par un uppercut, et son œil gauche était tellement enflé qu’il ne pouvait plus voir.
Contexte : Moore est devenu plus tard champion du monde poids mi-lourds.
3. Jimmy Bivins vs Joe Louis
Résultat : Défaite
Contexte : Combat symbolique où Joe Louis, alors en uniforme militaire, a remis à Bivins le "Duration Title" (titre provisoire pendant la guerre)
4. Jimmy Bivins vs Charley Burley
Résultat : Victoire
Fait marquant : Burley est considéré comme l’un des meilleurs boxeurs jamais titrés. Battre Burley a renforcé la réputation de Bivins comme un "champion sans couronne"
5. Jimmy Bivins vs Joey Maxim
Résultat : Victoire
Contexte : Maxim est devenu plus tard champion du monde poids mi-lourds. Bivins l’a battu à une époque où il dominait la division.
6. Jimmy Bivins vs Gus Lesnevich
Résultat : Victoire
Fait marquant : Lesnevich était champion du monde poids mi-lourds. Cette victoire a solidifié la position de Bivins comme prétendant légitime au titre.
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C'est bizarre que jimmy bivins n'a pas fait de championnat du monde de boxe
Il a battu les meilleurs mi lourds de son époque t quelques un des meilleurs poids lourds de son époque
Il y avait des rumeurs que c'était dû au racisme
Il a battu les meilleurs mi lourds de son époque t quelques un des meilleurs poids lourds de son époque
Il y avait des rumeurs que c'était dû au racisme
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Le Silence du Gant – La vie de Charley Burley
Pittsburgh, 1936. Dans les ruelles humides de la ville industrielle, un jeune homme aux yeux calmes lace ses bottes. Il s’appelle Charles Duane Burley, mais bientôt, le monde du ring le connaîtra sous un nom murmuré avec crainte : Charley Burley. Il n’a ni manager influent, ni promoteur riche. Juste des poings précis, une intelligence de combat hors norme, et une dignité qu’on ne peut pas acheter.
Il monte sur le ring pour la première fois en professionnel. Un crochet du droit, un uppercut, et son adversaire s’effondre. Victoire par KO. Ce sera la première d’une longue série — mais pas celle qui mène aux ceintures dorées.
Burley ne danse pas sur le ring. Il glisse, anticipe, efface les attaques comme s’il lisait dans l’esprit de ses adversaires. Il bat des champions, des légendes, des monstres. Archie Moore, Fritzie Zivic, Billy Soose — tous tombent ou plient face à lui. Mais les titres mondiaux lui échappent. Pas parce qu’il n’est pas assez bon. Parce qu’il est trop bon, trop noir, trop dangereux pour l’ordre établi.
Il fait partie d’un cercle maudit : le Murderers’ Row. Des boxeurs noirs d’élite que personne ne veut affronter. Ils s’affrontent entre eux, dans des combats d’une intensité rare, pour quelques billets et un peu de reconnaissance. Burley gagne souvent. Il perd parfois. Mais jamais il ne tombe. Jamais il ne triche. Jamais il ne supplie.
Les années passent. Les projecteurs se détournent. Les champions qu’il aurait pu battre deviennent des légendes. Lui, il devient chauffeur de bus scolaire. Il conduit des enfants, leur sourit, leur parle parfois de boxe. Mais jamais il ne se vante. Il garde ses souvenirs comme on garde une cicatrice : avec pudeur.
Puis vient la vieillesse, le corps qui a résisté à tant de coups ploie sous l’indifférence. Il meurt en 1992, dans le silence. Pas de cortège. Pas de discours. Juste un homme qui s’éteint, comme une bougie qu’on n’a jamais allumée devant les autres.
Et pourtant… Des années plus tard, des historiens, des passionnés, des boxeurs redécouvrent son nom. Ils regardent ses combats, lisent ses statistiques, écoutent les témoignages. Et ils comprennent. Charley Burley n’était pas un boxeur. Il était un maître, un poète du ring, un homme debout dans un monde qui voulait le faire plier.
Pittsburgh, 1936. Dans les ruelles humides de la ville industrielle, un jeune homme aux yeux calmes lace ses bottes. Il s’appelle Charles Duane Burley, mais bientôt, le monde du ring le connaîtra sous un nom murmuré avec crainte : Charley Burley. Il n’a ni manager influent, ni promoteur riche. Juste des poings précis, une intelligence de combat hors norme, et une dignité qu’on ne peut pas acheter.
Il monte sur le ring pour la première fois en professionnel. Un crochet du droit, un uppercut, et son adversaire s’effondre. Victoire par KO. Ce sera la première d’une longue série — mais pas celle qui mène aux ceintures dorées.
Burley ne danse pas sur le ring. Il glisse, anticipe, efface les attaques comme s’il lisait dans l’esprit de ses adversaires. Il bat des champions, des légendes, des monstres. Archie Moore, Fritzie Zivic, Billy Soose — tous tombent ou plient face à lui. Mais les titres mondiaux lui échappent. Pas parce qu’il n’est pas assez bon. Parce qu’il est trop bon, trop noir, trop dangereux pour l’ordre établi.
Il fait partie d’un cercle maudit : le Murderers’ Row. Des boxeurs noirs d’élite que personne ne veut affronter. Ils s’affrontent entre eux, dans des combats d’une intensité rare, pour quelques billets et un peu de reconnaissance. Burley gagne souvent. Il perd parfois. Mais jamais il ne tombe. Jamais il ne triche. Jamais il ne supplie.
Les années passent. Les projecteurs se détournent. Les champions qu’il aurait pu battre deviennent des légendes. Lui, il devient chauffeur de bus scolaire. Il conduit des enfants, leur sourit, leur parle parfois de boxe. Mais jamais il ne se vante. Il garde ses souvenirs comme on garde une cicatrice : avec pudeur.
Puis vient la vieillesse, le corps qui a résisté à tant de coups ploie sous l’indifférence. Il meurt en 1992, dans le silence. Pas de cortège. Pas de discours. Juste un homme qui s’éteint, comme une bougie qu’on n’a jamais allumée devant les autres.
Et pourtant… Des années plus tard, des historiens, des passionnés, des boxeurs redécouvrent son nom. Ils regardent ses combats, lisent ses statistiques, écoutent les témoignages. Et ils comprennent. Charley Burley n’était pas un boxeur. Il était un maître, un poète du ring, un homme debout dans un monde qui voulait le faire plier.
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Charley burley avait eu une grande reconnaissance dans le monde de la boxe en 1983No Mas a écrit : ↑05 sept. 2025, 18:13 Le Silence du Gant – La vie de Charley Burley
Pittsburgh, 1936. Dans les ruelles humides de la ville industrielle, un jeune homme aux yeux calmes lace ses bottes. Il s’appelle Charles Duane Burley, mais bientôt, le monde du ring le connaîtra sous un nom murmuré avec crainte : Charley Burley. Il n’a ni manager influent, ni promoteur riche. Juste des poings précis, une intelligence de combat hors norme, et une dignité qu’on ne peut pas acheter.
Il monte sur le ring pour la première fois en professionnel. Un crochet du droit, un uppercut, et son adversaire s’effondre. Victoire par KO. Ce sera la première d’une longue série — mais pas celle qui mène aux ceintures dorées.
Burley ne danse pas sur le ring. Il glisse, anticipe, efface les attaques comme s’il lisait dans l’esprit de ses adversaires. Il bat des champions, des légendes, des monstres. Archie Moore, Fritzie Zivic, Billy Soose — tous tombent ou plient face à lui. Mais les titres mondiaux lui échappent. Pas parce qu’il n’est pas assez bon. Parce qu’il est trop bon, trop noir, trop dangereux pour l’ordre établi.
Il fait partie d’un cercle maudit : le Murderers’ Row. Des boxeurs noirs d’élite que personne ne veut affronter. Ils s’affrontent entre eux, dans des combats d’une intensité rare, pour quelques billets et un peu de reconnaissance. Burley gagne souvent. Il perd parfois. Mais jamais il ne tombe. Jamais il ne triche. Jamais il ne supplie.
Les années passent. Les projecteurs se détournent. Les champions qu’il aurait pu battre deviennent des légendes. Lui, il devient chauffeur de bus scolaire. Il conduit des enfants, leur sourit, leur parle parfois de boxe. Mais jamais il ne se vante. Il garde ses souvenirs comme on garde une cicatrice : avec pudeur.
Puis vient la vieillesse, le corps qui a résisté à tant de coups ploie sous l’indifférence. Il meurt en 1992, dans le silence. Pas de cortège. Pas de discours. Juste un homme qui s’éteint, comme une bougie qu’on n’a jamais allumée devant les autres.
Et pourtant… Des années plus tard, des historiens, des passionnés, des boxeurs redécouvrent son nom. Ils regardent ses combats, lisent ses statistiques, écoutent les témoignages. Et ils comprennent. Charley Burley n’était pas un boxeur. Il était un maître, un poète du ring, un homme debout dans un monde qui voulait le faire plier.
Charley burley avait été Intronisé au Temple de la renommée de la boxe du magazine The Ring en 1983.