Collins était un cran en dessous de Benn et Eubank.
Il a pourtant battu les deux, mais ils étaient en fin de course.
Collins était quand même un sacré client bien coriace.
Son analyse de ses adversaires est intéressante. Mis à part McCallum (tout le monde fait des éloges sur ce type, même ses adversaires, et surtout même Toney

) il parle de la force physique de Eubank. Ce potentiel physique je pense que le fils en a hérité. Ça n'a rien à voir avec le punch, c'est juste qu'il semble fort physiquement et dur à plier dans les corps à corps. Un peu comme un Judoka ou un lutteur, ça sent la poigne de bûcheron.
Et pour en revenir à l'époque des Eubank, Benn, Watson, c'est une période magique en Angleterre. Le bon, la brute et le truand transposé dans le monde de la boxe, carrément.
Je vous laisse deviner qui est qui

c'est facile.