Sauf que Yoka n'a pris qu'un an.
Je ne comprends pas que les fédérations ne se calent pas sur les préconisations de l'AMA
non pas du tout en europe on est sévère sans doute a l'excès alors que les auglo saxon sont plus souple et pour povetkin c'est encore autre chosexXavXx a écrit : ↑21 oct. 2021, 12:03 Povetkin avait pris 1 an alors que c’était un cas de dopage avéré et chopé plusieurs fois a peu de temps d’intervalle.
Miller 2 ans lui aussi pris par la patrouille à trois reprises, pour lui sa carrière semble fort compromise à 33 ans.
Et on met des sanctions équivalentes pour des no shows, ce qui revient à considérer que le dopage est constaté.
Les sanctions devraient être uniformisées au niveau mondial.NF82 a écrit : ↑21 oct. 2021, 12:07non pas du tout en europe on est sévère sans doute a l'excès alors que les auglo saxon sont plus souple et pour povetkin c'est encore autre chosexXavXx a écrit : ↑21 oct. 2021, 12:03 Povetkin avait pris 1 an alors que c’était un cas de dopage avéré et chopé plusieurs fois a peu de temps d’intervalle.
Miller 2 ans lui aussi pris par la patrouille à trois reprises, pour lui sa carrière semble fort compromise à 33 ans.
Et on met des sanctions équivalentes pour des no shows, ce qui revient à considérer que le dopage est constaté.
Outre les conditions rocambolesques d'ajout du meldonium a la liste des substances dopantes la première fois que povetkin a été contrôlé positif vu la quatitée et surtout la durée de vie de la substance dans l'organisme il pouvait s'agir d'une prise antérieure à l’interdiction. Concernant les sanctions il y a un minimum et un maximum et une marge d'interprétation concernant les no show certain pays sont plus souple que d'autre sur l'interprétation du ce qui considère comme un no show et cette réglementation me semble de toute façon bien fragilexXavXx a écrit : ↑21 oct. 2021, 12:22Les sanctions devraient être uniformisées au niveau mondial.NF82 a écrit : ↑21 oct. 2021, 12:07non pas du tout en europe on est sévère sans doute a l'excès alors que les auglo saxon sont plus souple et pour povetkin c'est encore autre chosexXavXx a écrit : ↑21 oct. 2021, 12:03 Povetkin avait pris 1 an alors que c’était un cas de dopage avéré et chopé plusieurs fois a peu de temps d’intervalle.
Miller 2 ans lui aussi pris par la patrouille à trois reprises, pour lui sa carrière semble fort compromise à 33 ans.
Et on met des sanctions équivalentes pour des no shows, ce qui revient à considérer que le dopage est constaté.
Ceci dit je veux bien que tu développes ton commentaire, notamment sur Povetkin.
Je ne connais ni l'histoire de l’ajout du meldonium aux produits interdits ni sa durée de vie dans l’organisme mais il s’est, je crois, écoulé 7 mois entre le contrôle positif de Povetkin avant Wilder et celui avant Stiverne qui a donc été remplacé par Duhaupas.NF82 a écrit : ↑21 oct. 2021, 13:15Outre les conditions rocambolesques d'ajout du meldonium a la liste des substances dopantes la première fois que povetkin a été contrôlé positif vu la quatitée et surtout la durée de vie de la substance dans l'organisme il pouvait s'agir d'une prise antérieure à l’interdiction. Concernant les sanctions il y a un minimum et un maximum et une marge d'interprétation concernant les no show certain pays sont plus souple que d'autre sur l'interprétation du ce qui considère comme un no show et cette réglementation me semble de toute façon bien fragile
visiblement tu n'y comprends rien je t'explique que le premier controle positif de povetkin ne peux être considérer comme positif ensuite il y a le règlement universel de l'ama mais chaque pays peut ajouté une liste complémentaire de produit interdit en plus (en france elle est longue comme le bras ) . La on ne parle pas de ça mais simplement d'une différence d'interprétation du règlement qui est le même aussi d'un interprétation des faitsxXavXx a écrit : ↑21 oct. 2021, 13:29Je ne connais ni l'histoire de l’ajout du meldonium aux produits interdits ni sa durée de vie dans l’organisme mais il s’est, je crois, écoulé 7 mois entre le contrôle positif de Povetkin avant Wilder et celui avant Stiverne qui a donc été remplacé par Duhaupas.NF82 a écrit : ↑21 oct. 2021, 13:15Outre les conditions rocambolesques d'ajout du meldonium a la liste des substances dopantes la première fois que povetkin a été contrôlé positif vu la quatitée et surtout la durée de vie de la substance dans l'organisme il pouvait s'agir d'une prise antérieure à l’interdiction. Concernant les sanctions il y a un minimum et un maximum et une marge d'interprétation concernant les no show certain pays sont plus souple que d'autre sur l'interprétation du ce qui considère comme un no show et cette réglementation me semble de toute façon bien fragile
C’est bien parce qu’il y a des disparités entre les pays qu’il devrait y avoir un règlement universel, mais chacun fait à sa sauce.
J’ai très bien compris que tu ne considères pas le premier contrôle positif comme étant valide, je te dis que la substance a été à nouveau décelée 7 mois plus tard dans son organisme donc je m’interroge sur la durée pendant laquelle elle reste dans son organisme.NF82 a écrit : ↑21 oct. 2021, 13:39visiblement tu n'y comprends rien je t'explique que le premier controle positif de povetkin ne peux être considérer comme positif ensuite il y a le règlement universel de l'ama mais chaque pays peut ajouté une liste complémentaire de produit interdit en plus (en france elle est longue comme le bras ) . La on ne parle pas de ça mais simplement d'une différence d'interprétation du règlement qui est le même aussi d'un interprétation des faitsxXavXx a écrit : ↑21 oct. 2021, 13:29Je ne connais ni l'histoire de l’ajout du meldonium aux produits interdits ni sa durée de vie dans l’organisme mais il s’est, je crois, écoulé 7 mois entre le contrôle positif de Povetkin avant Wilder et celui avant Stiverne qui a donc été remplacé par Duhaupas.NF82 a écrit : ↑21 oct. 2021, 13:15
Outre les conditions rocambolesques d'ajout du meldonium a la liste des substances dopantes la première fois que povetkin a été contrôlé positif vu la quatitée et surtout la durée de vie de la substance dans l'organisme il pouvait s'agir d'une prise antérieure à l’interdiction. Concernant les sanctions il y a un minimum et un maximum et une marge d'interprétation concernant les no show certain pays sont plus souple que d'autre sur l'interprétation du ce qui considère comme un no show et cette réglementation me semble de toute façon bien fragile
C’est bien parce qu’il y a des disparités entre les pays qu’il devrait y avoir un règlement universel, mais chacun fait à sa sauce.
Moi je sais déjà tout ça mais même le règlement ama est interprété de manière différente dans les pays qui l'applique sans compter la logique normale de industrialisation de la sanction concernant la fameuse localisation je pense qu'un jour ça finira par être comdamné par la CEDH pour non-respect du droit à la vie privée et familialeBriscoe a écrit : ↑21 oct. 2021, 14:57 Vous vous plantez totalement:
Un organisme fait référence en matière de lutte anti dopage, c'est l'AMA (agence mondiale antidopage). C'est elle qui édicte les lois et recense tous les produits et méthodes interdites pour tout sportif compétiteur. Toutes les compétitions sportives (amateurs ou professionnelles) mondiales sont tenues d'effectuer des contrôles lors de leurs organisations. L'AMA est bien sur partie prenante dans le CIO.
En France, l'AFLD (agence Française de lutte anti dopage) applique les règles édictées par l'AMA. L'AFLD est reconnue par le ministère de l'éducation dont dépend le secrétariat des sports. En France, toutes les fédérations sont obligées de suivre ce règlement. Les fédérations sportives françaises mettent en place le fameux suivi longitudinal, c'est le médecin de chaque fédération qui assure cette mission.
En boxe mondiale, c'est particulier, l'AIBA sport olympique amateur suit les règles édictées par l'AMA et quel que soit le pays d'origine du boxeur. En pros au niveau mondial, il n'y a pas d'entité de référence comme la FIT au tennis ou la FIFA au foot mais des associations qui se sont auto proclamées fédérations mondiales.
La WBA/WBC/IBF/WBO pratiquent des contrôles plus ou moins rigoureux lors de leurs championnats, le WBC a par exemple signé une convention avec le VADA pour un sport propre.
Le no show c'est encore autre chose.
L'AMA cible un certain nombre d'athlètes qui sont tenus d'indiquer leur localisation via le logiciel ADAMS pour des contrôles inopinés, hors compétitions ou pendant les compétitions. Ainsi Tony Yoka n'était pas à l'endroit où il avait indiqué être quand un contrôleur s'est présenté, c'est un no show. Trois manquements comme celui-là c'est un an de suspension.
Le Meldonium est sur la liste des produits interdits depuis 2016, on peut dire que ce produit était une exclusivité des pays de l'est car pas ou peu commercialisé en occident. Il y aune grosse hypocrisie sur ce produit qui augmente l'endurance, Maria Sharapova l'utilisait depuis 2006 et c'est l'une des plus célèbres sportives à avoir été déclarée dopée au meldonium dés son interdiction en 2016.
Ca c'est totalement impossible. Il n'y a aucune dérogation possible au règlement AMA, le CIO est catégorique. Un pays qui ne suivrait pas ces règles à la lettre serait immédiatement exclu. Je te rappelle que le sport pro est autorisé aux JO . En France c'est encore plus strict avec un code du sport édicté par le ministère.NF82 a écrit : ↑21 oct. 2021, 15:21Moi je sais déjà tout ça mais même le règlement ama est interprété de manière différente dans les pays qui l'applique sans compter la logique normale de industrialisation de la sanction concernant la fameuse localisation je pense qu'un jour ça finira par être comdamné par la CEDH pour non-respect du droit à la vie privée et familialeBriscoe a écrit : ↑21 oct. 2021, 14:57 Vous vous plantez totalement:
Un organisme fait référence en matière de lutte anti dopage, c'est l'AMA (agence mondiale antidopage). C'est elle qui édicte les lois et recense tous les produits et méthodes interdites pour tout sportif compétiteur. Toutes les compétitions sportives (amateurs ou professionnelles) mondiales sont tenues d'effectuer des contrôles lors de leurs organisations. L'AMA est bien sur partie prenante dans le CIO.
En France, l'AFLD (agence Française de lutte anti dopage) applique les règles édictées par l'AMA. L'AFLD est reconnue par le ministère de l'éducation dont dépend le secrétariat des sports. En France, toutes les fédérations sont obligées de suivre ce règlement. Les fédérations sportives françaises mettent en place le fameux suivi longitudinal, c'est le médecin de chaque fédération qui assure cette mission.
En boxe mondiale, c'est particulier, l'AIBA sport olympique amateur suit les règles édictées par l'AMA et quel que soit le pays d'origine du boxeur. En pros au niveau mondial, il n'y a pas d'entité de référence comme la FIT au tennis ou la FIFA au foot mais des associations qui se sont auto proclamées fédérations mondiales.
La WBA/WBC/IBF/WBO pratiquent des contrôles plus ou moins rigoureux lors de leurs championnats, le WBC a par exemple signé une convention avec le VADA pour un sport propre.
Le no show c'est encore autre chose.
L'AMA cible un certain nombre d'athlètes qui sont tenus d'indiquer leur localisation via le logiciel ADAMS pour des contrôles inopinés, hors compétitions ou pendant les compétitions. Ainsi Tony Yoka n'était pas à l'endroit où il avait indiqué être quand un contrôleur s'est présenté, c'est un no show. Trois manquements comme celui-là c'est un an de suspension.
Le Meldonium est sur la liste des produits interdits depuis 2016, on peut dire que ce produit était une exclusivité des pays de l'est car pas ou peu commercialisé en occident. Il y aune grosse hypocrisie sur ce produit qui augmente l'endurance, Maria Sharapova l'utilisait depuis 2006 et c'est l'une des plus célèbres sportives à avoir été déclarée dopée au meldonium dés son interdiction en 2016.
Ce qui arriverais si condanation il y avait ce serait certainement une modification du règlement ama pour modifier le délail inparti pour fornir la localisation, je te rapelle que si un pays était condamné tout les pays adhérents a la cedh pourrait l'être aussi et ce ne sont pas de petites amendesBriscoe a écrit : ↑21 oct. 2021, 15:38Ca c'est totalement impossible. Il n'y a aucune dérogation possible au règlement AMA, le CIO est catégorique. Un pays qui ne suivrait pas ces règles à la lettre serait immédiatement exclu. Je te rappelle que le sport pro est autorisé aux JO . En France c'est encore plus strict avec un code du sport édicté par le ministère.NF82 a écrit : ↑21 oct. 2021, 15:21Moi je sais déjà tout ça mais même le règlement ama est interprété de manière différente dans les pays qui l'applique sans compter la logique normale de industrialisation de la sanction concernant la fameuse localisation je pense qu'un jour ça finira par être comdamné par la CEDH pour non-respect du droit à la vie privée et familialeBriscoe a écrit : ↑21 oct. 2021, 14:57 Vous vous plantez totalement:
Un organisme fait référence en matière de lutte anti dopage, c'est l'AMA (agence mondiale antidopage). C'est elle qui édicte les lois et recense tous les produits et méthodes interdites pour tout sportif compétiteur. Toutes les compétitions sportives (amateurs ou professionnelles) mondiales sont tenues d'effectuer des contrôles lors de leurs organisations. L'AMA est bien sur partie prenante dans le CIO.
En France, l'AFLD (agence Française de lutte anti dopage) applique les règles édictées par l'AMA. L'AFLD est reconnue par le ministère de l'éducation dont dépend le secrétariat des sports. En France, toutes les fédérations sont obligées de suivre ce règlement. Les fédérations sportives françaises mettent en place le fameux suivi longitudinal, c'est le médecin de chaque fédération qui assure cette mission.
En boxe mondiale, c'est particulier, l'AIBA sport olympique amateur suit les règles édictées par l'AMA et quel que soit le pays d'origine du boxeur. En pros au niveau mondial, il n'y a pas d'entité de référence comme la FIT au tennis ou la FIFA au foot mais des associations qui se sont auto proclamées fédérations mondiales.
La WBA/WBC/IBF/WBO pratiquent des contrôles plus ou moins rigoureux lors de leurs championnats, le WBC a par exemple signé une convention avec le VADA pour un sport propre.
Le no show c'est encore autre chose.
L'AMA cible un certain nombre d'athlètes qui sont tenus d'indiquer leur localisation via le logiciel ADAMS pour des contrôles inopinés, hors compétitions ou pendant les compétitions. Ainsi Tony Yoka n'était pas à l'endroit où il avait indiqué être quand un contrôleur s'est présenté, c'est un no show. Trois manquements comme celui-là c'est un an de suspension.
Le Meldonium est sur la liste des produits interdits depuis 2016, on peut dire que ce produit était une exclusivité des pays de l'est car pas ou peu commercialisé en occident. Il y aune grosse hypocrisie sur ce produit qui augmente l'endurance, Maria Sharapova l'utilisait depuis 2006 et c'est l'une des plus célèbres sportives à avoir été déclarée dopée au meldonium dés son interdiction en 2016.
Impossible, personne n'est contraint de faire du sport de compétition. Alors que dés que tu prends une licence tu adhères à un règlement en pleine connaissance puisque tu le signes. Un athlète qui ne respecterait pas de faire partie d'un groupe ciblé, se met automatiquement hors jeu.NF82 a écrit : ↑21 oct. 2021, 15:49Ce qui arriverais si condanation il y avait ce serait certainement une modification du règlement ama pour modifier le délail inparti pour fornir la localisation, je te rapelle que si un pays était condamné tout les pays adhérents a la cedh pourrait l'être aussi et ce ne sont pas de petites amendesBriscoe a écrit : ↑21 oct. 2021, 15:38Ca c'est totalement impossible. Il n'y a aucune dérogation possible au règlement AMA, le CIO est catégorique. Un pays qui ne suivrait pas ces règles à la lettre serait immédiatement exclu. Je te rappelle que le sport pro est autorisé aux JO . En France c'est encore plus strict avec un code du sport édicté par le ministère.NF82 a écrit : ↑21 oct. 2021, 15:21
Moi je sais déjà tout ça mais même le règlement ama est interprété de manière différente dans les pays qui l'applique sans compter la logique normale de industrialisation de la sanction concernant la fameuse localisation je pense qu'un jour ça finira par être comdamné par la CEDH pour non-respect du droit à la vie privée et familiale
au temps pour moi l'obligation de localisation était validé dans une décision de le CEDH daté de 2018 l'atteint étant considéré comme proportionné aux objectifs poursuiviBriscoe a écrit : ↑21 oct. 2021, 17:20Impossible, personne n'est contraint de faire du sport de compétition. Alors que dés que tu prends une licence tu adhères à un règlement en pleine connaissance puisque tu le signes. Un athlète qui ne respecterait pas de faire partie d'un groupe ciblé, se met automatiquement hors jeu.NF82 a écrit : ↑21 oct. 2021, 15:49Ce qui arriverais si condanation il y avait ce serait certainement une modification du règlement ama pour modifier le délail inparti pour fornir la localisation, je te rapelle que si un pays était condamné tout les pays adhérents a la cedh pourrait l'être aussi et ce ne sont pas de petites amendesBriscoe a écrit : ↑21 oct. 2021, 15:38
Ca c'est totalement impossible. Il n'y a aucune dérogation possible au règlement AMA, le CIO est catégorique. Un pays qui ne suivrait pas ces règles à la lettre serait immédiatement exclu. Je te rappelle que le sport pro est autorisé aux JO . En France c'est encore plus strict avec un code du sport édicté par le ministère.
Le no show c'est exactement comme si tu étais en arrêt maladie avec obligation de respecter des horaires de présence chez toi et que tu n'y sois pas quand un contrôleur CPAM passe.